A peine une décennie d’existence l’université de Ségou semble souffrir des anciens maux de l’espace universitaire malien. Elle hérite petit à petit des exactions de la colline de Badalabougou. Pourtant elle était une lueur d’espoir pour une meilleure qualité de l’enseignement supérieur. Aujourd’hui les Etudiants de la première Université régionale publique du Mali se plaignent de certains problèmes auxquels ils sont confrontés...

nous assistons toujours à l’insuffisance alimentaire, l’inflation de prix sur les d’entrées de première nécessité, l’importation massive des biens de consommation y compris les intrants agricoles, les conditions de vie des paysans aussi restent à désirer. 

Les Ballo djoula sont les descendants des marchands berbères venus de Kong (cote d’ivoire) vers 1800 après son éclatement. Ils sont nombreux au Mali dans plusieurs régions notamment Sikasso, Koutiala, Mopti, Ségou, Koulikoro, et Bamako. A ne pas confondre avec les Ballo forgerons avec qui ils n’ont pas le même héritage.

Créer en 2018 à Ségou l’Association des Animateurs et Techniciens des Radios Libres de Ségou sous le sigle ATRLS est une organisation à but non lucratif regroupant une soixantaine de professionnels de la Radio à travers la ville.

Il est important de souligner que cette situation n’est pas due à un manque de volonté de la part des employés des administrations, mais plutôt à un manque de formation et de moyens pour les aider à remplir leur mission de manière efficace. Les employés des administrations sont souvent sous-équipés et sous-formés, ce qui les empêche de fournir un service de qualité aux citoyens. Ce mauvais accueil est non seulement frustrant...

Cette nouvelle ère numérique fait bouger les lignes dans la communication. Dans cette révolution des NTIC, le changement s’impose de façon spontanée ce changement n’épargne pas la télévision conventionnelle avec l’avènement de la WebTV. Elle se présente comme l’avenir de la télévision !